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Category: DEVELOPPEMENT

Sommet de la sécurité et la sûreté maritime à Lomé :Les transporteurs sensibilisés

Le Mouvement pour l’Epanouissement des Usagers de la Route (MEUR) a tenu le 23 septembre au siège de la Confédération Nationale des Travailleurs du Togo (CNTT) à Lomé, une conférence de sensibilisation des conducteurs sur les comportements à adopter pour afficher une bonne image du Togo pendant le sommet de la sécurité et la sûreté maritime.

Cette rencontre d’échange vise à apporter des réponses à toutes les questions liées  à la contribution de la route et ses usagers pour la réussite de ce sommet.

Pour LANYO Koffi, président du mouvement, les participants à la fin de la rencontre ont été informés de l’importance du sommet et des conduites responsables et citoyennes à adopter sur les lieux et places publiques. Ils auront à servir de relai dans leur famille et localités respectives.

Des voitures électriques et solaires commercialisées au Togo

La société Le Monde de l’Energie en collaboration avec la société S-King basé en Chine ont lancé le jeudi 22 septembre 2016, l’assemblage et la commercialisation des voitures et motos écologiquement responsables. C’était au siège de la société Le Monde de l’Energie à Lomé.

Ces engins n’utilisent que de l’énergie électrique et solaire, sont équipés de moteurs qui émettent zéro CO2 et roulent sans bruit, contrairement aux moteurs standards.

Leur garantie est de cinq ans pour les moteurs de tourisme et de dix ans pour ceux conventionnels.

Selon M. Etonam KOUZAN, co-directeur de S-King et SK Ingenious  Limited, ces moteurs peuvent être chargés à basse de l’énergie de la CEET ou de l’énergie solaire. Une fois chargé, l’accumulateur peut faire rouler ces engins sur 130 à 4OO km sans être déchargé.

Le Directeur de la société « Le Monde de l’Energie », M. Kossi ETOH, s’est réjouit du fait que le Togo par cette société, est le premier pays en Afrique à procéder à l’assemblage et à la commercialisation de ces voitures et motos 100 % énergie électrique et solaire.

Les points de charge de ces voitures et motos seront installés à des endroits différents et permettre ainsi aux utilisateurs de se procurer de l’énergie pour leur engin en cas de défaut de charge.

Les pays africains peuvent désormais se procurer des voitures électriques solaires à partir du Togo.

Le rapport bilan 2015 de la SCAPE en cours de validation

Un atelier national de validation du rapport bilan de mise en œuvre de la Stratégie de Croissance Accélérée et de Promotion de l’Emploi (SCAPE) en 2015 se teint les 20 et 21 septembre 2016 à Lomé. Cette rencontre organisée par le Ministère de la Planification est du Développement a été ouvert par le directeur de cabinet M. EDJEOU Essohanam.

Selon ce rapport provisoire, il ressort que le PIB a régressé de 0,5% (5,9 en 2015 et 5,4 en 2015). Malgré ce taux régressif des avancées ont été davantage consolidées au plan macroéconomique.

Selon le secrétaire technique de la SCAPE, M. KAMAGA Paul, le rapport bilan de l’année 2015 soumis à validation est le fruit des rapports annuels de performance des Ministères et des rapports de suivi-évaluation participatif des régions maritimes et centrale. Des avancées certes mais on note aussi quelques contre performances.

Notons que, au terme des deux jours, les participants (secteurs publique et privé) à cette rencontre devront s’accorder sur les performances obtenus et des recommandations. La rencontre devra recueillir le consensus technique nationale sur les résultats du bilan de cette 3ème année de mise en œuvre de la stratégie de croissance accélérée et de Promotion de l’Emploi SCAPE avec des recommandations pertinentes devant permettre de renforcer les actions de développement dans le pays.

Le Programme d’Urgence de Développement Communautaire (PUDC) au cœur d’un atelier

Un atelier a été initié par le gouvernement togolais le mardi 20 septembre 2016 à Lomé afin d’examiner et de valider les indicateurs du Programme d’Urgence de Développement Communautaire (PUDC). Cette séance se situe dans le cadre du projet de développement du système d’information géoréférencé des infrastructures et équipements.

En effet, le PUDC au cœur de cette rencontre est un vaste programme qui vise, entre autres, à améliorer de façon significative les conditions de vie des populations dans les zones peu ou mal desservies à travers des infrastructures socioéconomiques de base ; elle ambitionne également  de réduire les inégalités sociales à travers des interventions ciblées dans les communautés et aussi corriger le déséquilibre entre les différentes régions en matière d’infrastructures.

Ce programme est constitué de 4 composantes notamment le développement d’infrastructures et d’équipements socioéconomiques de base, le renforcement des capacités des institutions institutionnelles des acteurs nationaux et locaux, le développement de l’entreprenariat rural et le développement d’un système de géolocalisation des infrastructures.

Pour le ministre du développement à la base, de l’artisanat, de la jeunesse et de l‘emploi des jeunes, madame Sidemeho TOMEGAH-DOBGE et la coordinatrice du système des nations unies au Togo, représentante résidente du PNUD, madame KADHIARTA LO N’DIAYE, la réussite de cet atelier dépend de l’implication effective de tous les acteurs.

Le gouvernement togolais sera accompagné dans la mise en œuvre de cet important projet par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) qui a déjà mobilisé l’expertise nécessaire dans la formulation du PUDC qui couvre toutes les régions du Togo. Il sera exécuté dans 23 préfectures dans sa première phase.

Campagne au Togo de sensibilisation contre la mal-bouffe

Le  coordonnateur de l’Organisation pour l’Alimentation et le Développement  Local (OADEL), Tata Yawo Amétoényénou a procédé au lancement de la dixième campagne alimenTerre le lundi 19 septembre 2016 à Lomé.

Cette campagne alimenTerre (produits agricoles naturels) subdivisée en festival du film alimenTerre et en marché alimenTerre est prévue pour  se dérouler du 15 octobre au 30 novembre 2016  dans les régions maritime, centrale et de la Kara.

Deux films retenus feront l’objet de 23 projections-débats  lors du festival des films alimenTerre, du 15 octobre au  10 novembre 2016.

Ce festival de films devrait permettre, à l’aide des mots et des images attirer l’attention  du public togolais sur les mauvaises habitudes alimentaires et le sensibiliser sur les enjeux de l’agriculture et de l’alimentation de demain.

Le marché alimentaire du 9 au 20 novembre 2016, est une exposition vente et de dégustation des produits et mets locaux comme la sauce au vin de palm contenu dans le livre des recettes togolaises édité par OADEL au restaurant BoBaR à côté de la lagune de Bè (Lomé). Ce marché s’animera dans une ambiance festive avec la prestation des chanteurs en live chaque soir.

Fin des séances d’échanges entre la jeunesse les pouvoirs publics

Le ministère du développement à la base en collaboration avec le Conseil National de la Jeunesse (CNJ) a clôturé le 13 septembre à Lomé les rencontres d’information  de la jeunesse sur son implication dans la mise en œuvre des Objectifs du Développement Durable (ODD) au Togo.

Ces fora régionaux entrepris depuis le 30 août ont permis à mille jeunes à travers toutes les préfectures du pays de mener des échanges avec les pouvoirs publics sur leur rôle dans l’atteinte de ces ODD.

Pour Régis BATCHASSI, président du CNJ, l’engouement et l’intérêt manifestés à l’endroit de cette initiative, première du genre, par les différents acteurs et principalement les jeunes ainsi que les résultats des travaux , ont révélé l’importance de créer des cadres d’échanges et de concertation entre les jeunes et les pouvoirs publics.

TOGO: Journée Africaine de la Technologie et de la Propriété Intellectuelle

A l’occasion  de la commémoration le 13 Septembre de la « journée africaine de la technologie et de la propriété intellectuelle » par l’Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI), madame le ministre du commerce, de l’industrie, de la promotion du secteur privé et du tourisme, Mme Bernadette Essossimna LEGZIM-BALOUKI a adressé un message à l’endroit de tous les togolais et de toutes les togolaises :

Mesdames et Messieurs,

Chers concitoyens,

Le 13 septembre de chaque année, date anniversaire de la création de l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI), la communauté africaine célèbre la «Journée africaine de la technologie et de la propriété intellectuelle. »

Instituée en 1999 par la conférence des Chefs d’État et de Gouvernement de l’Union Africaine, cette journée est un moment de choix pour les États, les institutions de recherche et les structures productives, de faire le point sur les politiques, les stratégies et les pratiques impliquant la propriété intellectuelle et la technologie, afin de définir de nouvelles perspectives relatives à cet aspect décisif de la problématique du développement économique et social du continent, et de faire en sorte que ces perspectives trouvent une résonance favorable auprès d’un large éventail de parties prenantes.

Le thème retenu cette année à savoir : « propriété intellectuelle et technologies vertes » peut, de prime abord, donner l’impression d’être un domaine très futuriste pour nos pays en développement. Il s’agit en réalité d’un nouveau rendez-vous de l’histoire dont l’Afrique se doit de tout mettre en œuvre pour ne pas en être absente.

Le développement des énergies renouvelables, les techniques d’optimisation de l’utilisation des ressources et des procédés d’usage dans les domaines du bâtiment, de l’industrie ou des transports, le recyclage des déchets, le traitement des eaux usées sont autant d’innovations dont l’objet est de réduire les effets préjudiciables de l’activité humaine sur l’environnement ; le but étant de préserver et d’économiser les ressources précieuses, d’optimiser l’exploitation des énergies, et de trouver des solutions à long terme pour prévenir la dégradation des écosystèmes.

Mesdames et  messieurs,

Au cours des dix  dernières années, l’Afrique a connu une  croissance économique vigoureuse et ses perspectives de croissance à moyen terme demeurant positives, malgré les incertitudes qui planent sur l’économie mondiale. Cependant, cette croissance ne s’est pas traduite sous la forme d’une diversification économique, en particulier dans les secteurs qui offrent des possibilités d’emploi importantes. La majorité des africains a encore un accès  limité à l’énergie aux prestations de services de base, comme l’eau potable ou les soins de santé.

La dégradation croissante de l’environnement, la diminution des ressources  naturelles, la réalité du  changement climatique et ces effets sur la sécurité alimentaire, le déficit de l’offre  énergétique, les besoins en matière d’infrastructures  et de santé, sont autant de motifs qui font de l’économie verte une alternative de luxe mais une nécessité pour le développement économique et social durable de l’Afrique.

Notre continent dispose d’abondantes ressources naturelles, telles que l’eau et les sources d’énergie renouvelables. Par conséquent, l’Afrique devrait avoir toutes ses chances intactes en matière de technologies vertes, aidée en cela par ses immenses ressources génétiques et ses savoirs traditionnels qui continuent à faire l’objet de pillage, faute malheureusement d’un mécanisme international de protection contraignant et d’une exploitation locale modernisée.

En vue d’améliorer le niveau de vie des populations, de créer des emplois, de stimuler la croissance et l’investissement et de faciliter la prestation de services importants aux populations rurales, en matière de l’électricité et des soins de santé, il va falloir disposer de nouvelles solutions technologiques permettant de répondre à la demande de façon écologique et abordable pour les couches sociales à faibles revenus.

Le défi auquel nous sommes confrontés est double: encourager l’innovation dans le domaine des technologies vertes et favoriser leur diffusion partout où elles peuvent avoir un impact significatif,

Mesdames et Messieurs, Chers concitoyens,

Je saisis cette occasion solennelle pour inviter les opérateurs économiques à moderniser leur vision de l’entrepreunariat, à faire confiance en nos capacités à proposer sur le marché mondial des produits et services spécifiques et de prendre une part active dans les nouveaux développements du secteur de l’industrie qui prennent en charge les défis environnementaux.

J’invite également les administrations nationales concernées, la société civile, les chercheurs, les inventeurs et toutes les personnes de bonne volonté à œuvrer de concert pour créer les conditions nous permettant de parvenir rapidement aux principaux objectifs de notre ambition nationale d’émergence économique.

Vive l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle,

Vive l’Union africaine,

Vive la Coopération internationale,

Je vous remercie de votre attention.

Visite du Gouverneur SAM WORENTETU AU TOGO

Rotary Club Lomé Cocotiers a reçu le lundi 12 septembre 2016 la visite du gouverneur  Sam WORENTETU, gouverneur du district 9102, venu du Ghana. Cette visite a été marquée par la mise en terre de plants de cocotiers à la plage de Lomé. Le gouverneur a saisi cette occasion pour faire une évaluation des activités du club.

Outre la mise en terre de plants de cocotiers, les activités au programme de cette visite du gouverneur Sam, sont entre autres : la séance de travail avec le comité du club suivie d’une rencontre avec tous les membres du club toujours dans cette journée du lundi. L’objectif de cette visite étant d’évaluer le club.

Ambroise ABALO, président de Rotary Club Lomé Cocotiers se réjouit de la visite du Gouverneur et surtout de la mise en terre de ces dizaines de plants qui va contribuer à lutter contre l’érosion côtière.

Cette visite du gouverneur marque la fin d’une première phase débutée le jeudi 08 septembre 2016. Une seconde phase prévue en octobre permettra au gouverneur de visiter les autres clubs du Togo.

Rappelons que les clubs rotariens du Togo font partie du district 9102 qui comprend, le Bénin, le Ghana, le Niger et le Togo.

Sécurité maritime : les dispositions de l’aviation civile africaine validées

Les dispositions relatives à la Commission africaine de l’aviation civile ont été prises par les 54 ministres africains de la justice. C’était à la clôture le vendredi 9 septembre 2016 à Lomé de la 2ème session ordinaire de deux jours du Comité Technique Spécialisé (CTS).

Cette rencontre a permis de valider les projets de textes et instruments juridiques élaborés en début septembre par la 1ère session du Comité Technique Spécialisé (CTS). Le président du comité technique, ministre d’Etat, garde des sceaux, ministre de la justice du Cameroun, LAURENT ESSO a clos les travaux en présentant les grandes décisions relatives notamment à la Commission africaine de l’aviation civile.

Le  CTS a au cours de la même séance  défini les grands axes du prochain sommet sur la sécurité maritime, la sûreté et le développement que notre pays accueille du 11 au 15 octobre prochain.

Le ministre togolais de la justice, Pius AGBETOMEY,  a, au nom du gouvernement, remercié les 54 participants pour les efforts réalisés durant les travaux.

Les jeunes font face aux migrations clandestines

Une centaine de jeunes venu de quinze pays de la CEDEAO sont en réflexion du 06 au 08 septembre 2016 à Lomé, une initiative du sommet des jeunes d’Afrique de l’ouest.

Cette rencontre va permettre de sensibiliser les opinions sur les méfaits des migrations clandestines, de former et d’échanger avec eux pour les amener à réaliser qu’ils peuvent construire des communautés modèles où il y a plus à gagner dans entrepreneuriat, l’auto-emploi et le volontariat que dans les courses vers l’Europe à bord des embarcations de fortune, à prix d’or et au péril de leur vie. Pendant ces trois jours, ils vont mener des discutions sur l’auto-emploi, entrepreneuriat et le volontariat.

Pour ATTISSOGBE Elom, président du ‘’sommet des jeunes d’Afrique de l’ouest’’ TOGO 2016, l’accès à l’emploi et à la formation professionnelle, entrepreneuriat sont autant de défis que doit relever la jeunesse africaine et qui appelle à des solutions de terrain afin de palier à ce fléau  de migration qui a tué plus de 20 mille africains ces quinze dernières années.

Des projets agropastoraux ont bénéficié des équipements de travail

Une cérémonie de remise d’équipements à des jeunes promoteurs dans le domaine de l’agropastoral présidée par le ministre en charge de l’emploi des jeunes, Madame Victoire TOMEGAH-DOGBE ministre en charge de l’emploi des jeunes,s’est déroulé le vendredi 02 septembre 2016 au siège du Fonds d’Appui aux Initiatives Économiques des Jeunes (FAIEJ).

Cette cérémonie s’inscrit dans le cadre du programme régional de développement des agro-industries initié par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) afin de palier à l’insuffisance de subventions à l’acquisition d’équipements et d’infrastructures agricoles.

A travers ce projet placé sous la tutelle du ministère en charge du développement à la base, le PNUD entend mobiliser des financements complémentaires pour assurer le lancement effectif des activités sur des projets pré-identifiés présentant un potentiel d’activités prometteur.

Au total, treize projets agropastoraux bénéficient de ces équipements composés entre autres de tricycles, d’égreneuses, de moulins, de polytank et de décortiqueuses qui leur permettront de développer leurs entreprises et accroître leurs revenus.

La cérémonie a vu la participation de la représentante du PNUD au Togo, de l’ambassadeur des USA au Togo, de l’ancienne ministre de l’action sociale, de la Directrice Générale du FAÏEJ, des directeurs des projets et programmes du ministère de l’emploi des jeunes et des récipiendaires.

Elle est couplée de l’inauguration de la médiathèque FAIEJ qui est un centre d’écoute, d’appui conseil en entrepreneuriat pour tout jeune désireux de se prendre en charge. Un espace qui offre aux jeunes entrepreneurs des conseils en marketing et communication pour un bon positionnement de leur produit sur le marché. Elle vient en amont à la vitrine offerte par la centrale d’achat des jeunes entrepreneurs (CAJENT), une autre initiative du ministère du développement à la base qui vise à assurer la commercialisation de ces produits et offre aux jeunes une facilité d’accès au marché et à la matière

Le ministre Victoire TOMEGAH-DOGBE a félicité ces récipiendaires, répartis sur l’étendue du territoire national, pour leur abnégation et leur persévérance. Elle les a exhortés à faire bon usage des équipements qui leur ont été remis afin d’accroître leurs rendements et créer de la richesse pour notre pays.

En 2015, le PNUD, avec la collaboration de la Direction de l’Emploi des Jeunes et l’accompagnement technique du Fonds d’Appui aux Initiatives Économiques des Jeunes, a effectué une mission d’évaluation pour faire l’état des lieux des vingt (20) projets soutenus en 2012 et identifier leurs besoins prioritaires en vue d’assurer la viabilité de leurs activités économiques a-t-elle ajouté.

A l’issue de cette mission d’évaluation, le Fonds d’Appui aux Initiatives Économiques des Jeunes avec l’appui de la Direction de la Jeunesse et de l’Emploi des Jeunes a procédé à l’acquisition des équipements en faveur de 13 projets agropastoraux identifiés pour bénéficier desdits équipements.

La mutuelle qui transforme le «Zémidjan» en entrepreneur

La directrice de la Délégation à l’Organisation du Secteur informel (DOSI), Ingrid Awadé a célébré les deux ans de la Mutuelle des Conducteurs de Taxi-Motos (MUCTAM), le 2 septembre 2016 à son siège à Lomé.

A cette occasion, la DOSI a remis des gilets d’identificationaux adhérents conducteurs de taxi-motos communément appelés « Zémidjan ».

La DOSI a célébré cet anniversaire en présence des ministres en charge du commerce,  Léguézim-Balouki et de la sécurité Yark Damahame, du président de la CCIT, Germain Méba, du directeur de cabinet du  Haut Conseil pour la mer auprès de la Présidence., Hubert Bakai et d’autres personnalités.

Les ministres ont félicité la directrice générale de la DOSI pour cette initiative qui permet de professionnaliser les conducteurs de taxi-motos qui deviennent ainsi des entrepreneures ce qui impacte positivement l’économie nationale.

Notons que la  MUCTAM a été lancée le 3 septembre 2014 à FOPADESC. Elle compte près de deux mille adhérents. L’adhésion est facile, une preuve de conducteur de taxi-moto, le payement des droits d’adhésion de 2 mille FCFA et de 3 mille FCFA pour la cotisation annuelle.

C’est avantageux parce que l’adhésion donne droit à une assurance maladie à hauteur de 80/, une moto ou un tricycle, une épargne pour une probable reconversion et pour la vieillesse.