Le Centre de Formation aux Métiers de l’Industrie (CFMI) a été inauguré ce 04 Mai 2016 par le  chef de l’Etat Faure Essozimna GNASSINGBE. D’une valeur de près de cinq Milliards de francs CFA, le CFMI est l’œuvre de l’Etat Togolais et de la France, destinée à la formation professionnelle des acteurs du secteur industriel, des jeunes et des demandeurs d’emploi.

Financé  à hauteur de 1,3 Milliards de francs CFA par l’Etat Togolais et 3,935 Milliards par l’Agence Française de Développement, le Centre de Formation aux Métiers de l’Industrie CFMI est le fruit de la coopération Franco-Togolaise. Véritable dispositif de renforcement des compétences dans le domaine industriel, ce centre est destiné à la formation des professionnels du secteur industriel, des jeunes et demandeurs d’emploi. Ce joyau possède une plate forme technique et technologique de plus de 6000m², dotée d’équipements industriels et didactiques répondant aux normes européennes, qui permettront aux entreprises d’accroitre leur compétitivité et leur productivité en prenant en compte leurs besoins.

Pour Laurent Koami TAMEGNON, Président de l’Association pour la Formation aux Métier de l’Industrie, le CFMI est crée dans le cadre d’un partenariat entre l’Etat togolais et français.

Le CFMI a été inauguré en présence du Secrétaire d’Etat Français au Développement et à la Francophonie, André VALLINI

Pour le Ministre Georges Kwaku AÏDAM de la Formation Professionnelles, la  création de ce centre vient concrétiser la volonté du Chef de l’Etat dont le souci majeur est de faire de l’Enseignement Technique et Professionnel, un moyen de réduction de la pauvreté.

Les membres de  l’Association des Jeunes Entrepreneur du Jourdain (AJEJ) ont suivi un atelier de partage  le 02 mais 2016 à Lomé dans le cadre l’insertion socioprofessionnelle des jeunes a la fin de leur formation d’étude.

Le directeur d’une société a  partagé son expérience avec les jeunes  entrepreneurs d’AJEJ. Il a déclaré lors de leur discussion : « Vous verrez demain ce que vous voyez aujourd’hui ». A la fin des échanges, Les jeunes  affirment être satisfaits pour devenir  un bon entrepreneur.

Le président de la république Faure GNASSINGBE a procédé à l’inauguration de la nouvelle aérogare en présence des membres du gouvernement, des honorables députés, des membres du corps diplomatique et des représentants de différentes institutions.

D’un coût total de 75 milliards de  FCFA, cet ouvrage réalisé par les techniciens  de la république  populaire de  Chine, va propulser le Togo dans une nouvelle ère de développement.

Le directeur général de la société aéroportuaire de Lomé Tokoin, le professeur KOGOE AKRIMA a promis une gestion à bon escient de ce joyau.

Le directeur général de l’Agence Nationale de l’Aviation Civile (ANAC), le Colonel LATTA GNAMA DOKESSIM a rappelé les dispositions sécuritaires de l’aéroport international GNASSINGBE Eyadema qui ne cessent d’attirer les passagers dans le monde entier.

L’ambassadeur de la Chine au Togo quant à lui a salué les relations excellentes d’amitié et de coopération qui existent entre les deux pays

Les techniciens hydrologues  venus des dix-sept pays de la CEDEAO vont élaborer des données fiables pour une bonne gestion de l’eau au cours un atelier de formation-action sur l’optimisation des réseaux de collecte des données hydrologiques dans l’espace  CEDEAO.

Cette formation qui se déroule du 11 au 22 avril 2016 à Lomé a pour objectif d’améliorer le niveau de connaissance de ces techniciens afin de permettre à chaque pays de disposer  d’un réseau de collecte des données hydrologiques.

Selon Abdou Ali, le problème de collecte des données hydrologiques est lié au manque d’expert, de compétences dans ce secteur.Il s’agit de maîtriser la collecte, le traitement de la diffusion de l’information sur l’état des ressources en eau afin  de suivre et prévoir les risques extrêmes hydrométéorologique comme les inondations et la sécheresse.

Un atelier de lancement du deuxième  cycle de suivi des progrès réalisés dans la mise en œuvre des engagements du Busan, pour une coopération efficace au service du développement, s’est tenu le 12 avril 2016 à Lomé. Initiée par le ministre de la planification de développement, cette rencontre a permis aux parties prenantes de disposer des informations et d’être sensibilisées à l’ensemble des 10 indicateurs de l’accord.

Pour la gestion efficace de l’aide publique pour le développement, le Togo  a signé un certain nombre d’engagement au plan international. Il s’agit, notamment de Paris en 2005, du Programme d’Action d’Accra en 2008 et de l’accord de Partenariat et de Busan en 2011. Ce dernier accord de Busan signé en 2011, en République de Corée, met un accent particulier sur les particuliers sur les partenariats pour le développement inclusif.

Il s’inscrit dans la lignée d’une série d’initiatives internationales prises depuis de Monterrey en 2002 et visant à améliorer l’efficacité de la coopération pour le développement.

Son cadre de suivi est composé d’un ensemble de 10 indicateurs accompagnés d’objectifs et cibles fixés. Ces indicateurs portent, entre autres, sur le renforcement des institutions des pays en développement, l’accroissement de la transparence et de la prévisibilité de la coopération au développement, l’amélioration de l’égalité hommes-femmes, ainsi que sur la participation de la société civile, des Parlements et du secteur privé aux efforts de développement.

Ainsi, dans le but de faire un état des lieux de la mise en œuvre des engagements pris, le Togo participe au 2^e cycle de suivi des progrès réalisés.